Du mois de mars jusqu'ici, j'étais dans le hamac de France, littéralement. Je n'ai pas eu le temps de réfléchir dans le hamac de Tôkyô, Maintenant que j'ai décidé de suivre "une voie singulière" (selon la description d'un français que j'avais rencontré à Paris), j'espère écrire mon impression plus souvent.
6 commentaires:
Je suis contente que vous soyez revenu!!!Ca me manquait de vous lire.
Vous n'avez donc pas vu les cerisiers en fleurs?
J'espere vous revoir bientot pour vous entendre raconter vos deambulations dans Paris.
A bientot.
Aurele.
Bonjour Aurele,
Merci de votre visite. Je suis revenu à Tokyo sain et sauf. J'ai profité de cette occasion et visité plusieurs institutions. Au fait, j'ai rencontré Fr à Paris. A bientot !
Paul
Bon retour dans le hamac de Tokyo.
Je vous lis de temps en temps sur le hamac de France également, mais cela reste un peu difficile (notamment l'article tout commence par la maladie).
Bonjour Chris,
Merci de votre visite à mon blog japonais. L'article que vous aviez la difficulté à lire, c'était écrit quand j'étais malade, comme indiquait le titre. Donc il n'est pas très logique.
J'ai apprécié ce texte ("Et si tout commençait par la maladie…").
En fait, il m’a beaucoup frappé car il m’a rappelé une expérience (et réflexion) similaire.
Il me semble que la douleur et la faiblesse accompagnant la maladie offre parfois la possibilité de redécouvrir son corps, et ce, malgré les sollicitations extérieures du monde (les devoirs, 義務 ect…), qui – en temps ordinaire – nous détourne de l’indispensable : l’état de douleur ou faiblesse est d’essence égocentrique (elle recentre sur la personne), et rappelle que nous sommes mortels dans ce monde là. Elle permet d’initier à partir de cet instant une réflexion sur soi et sur l’essentiel.
Le paradoxe m’apparaît intéressant : le corps (souffrant) inspire le spirituel (réflexion sur soi même).
Bonjour Chris,
Je me demande toujours pourquoi il y a des maladies. On peut éliminer une ou deux maladies mais jamais la maladie toute entière. Est-ce qu'il y a des raisons pour ce fait ? Je pense que la maladie nous rend plus humains et donc nous en avons besoin. Bien que je sois dans ce domaine, je perds de temps en temps la motivation.
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