lundi, mars 27, 2006

AU CAFE D'OHORI AU CREPUSCULE


Ce week-end, malgré l'allergie, je suis allé au Institut Franco-Japonais de Tokyo pour recevoir le diplôme de DALF-C1. À la librairie "Rive Gauche", deux livres ont attiré mon attention: « Poèmes » de Nakahara Chûya (1907-1937) (Philippe Picquier, 2005) et « Tokyo: Petits portraits de l'aube » de Michaël Ferrier (Gallimard, 2004).

J'ai acheté le livre de Chûya parce que j'ai récemment eu une affinité pour le poésie et que le design du livre était beau. Dans son livre, Michaël Ferrier écrit la beauté de nuages, ce qui m'intéressait beaucoup.

"J'aime aussi à regarder l'immense peuple des nuages, ses multiples formes, ses compositions. Noter la variété toujours recommencée des contours, les mousses, les traînes, la pommelure ou le tranchant."

Je me suis senti très proche de lui, parce que j'ai aussi découvert le paisir de regarder des nuages pendant mon séjour en Europe l'été dernier.

Selon ce livre, la grand-mère de M. Ferrier était indienne, son grand-père mauricien. Né à Strasbourg, il passe son enfance en Afrique et dans l'océan Indien, puis fait ses études à Saint-Malo et à Paris. Il enseigne la littérature à l'Université de Chûo (Tokyo), où il vit depuis dix ans.

J'ai commencé à lire ce « Tokyo » au café canal au crépuscule.

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